Sunday, May 27, 2012

Fabrice est venu passer une semaine en France sans se faire arreter a la frontiere pour les noumbreux mandats qu'une certain saloperie de menteuse a dit existaient et allaient faire qu'il soit arrete des sa  premiere tentative de revenir en France.

Eh oui, Mademoiselle H****, il ne t'a pas suffit de gacher la vie et les amities de tous ceux qui t'entourent, il te faut en plus mentir et manipuler les gens pour qu'ils tombent dans ton piege de mensonges et de mechancetes.

Tu devrais avoir honte !
Depuis quelques temps, le frere de Fabrice n'arretait pas de prendre du poids. Comme Fabrice, il pouvait en prendre beaucoup et tres vite. Malheureusement, Fabrice peut aussi le perdre assez facilement, alors que son frere n'en arrivait pas.

Donc, pour preserver sa sante et eviter une mort prematuree, il s'est fait opere jeudi de la semaine derniere pour un bypass gastrique pour reduire la taille de son estomac. Il ne s'agissait pas de placement d'un anneau, mais de reduction directe de l'organe. Il est rentre de l'hopital mardi.

Mercredi, sa femme s'est rendu compte qu'il y avait quelque-chose qui n'allait pas. Il ne se plaignait de rien. Quand elle a constate qu'il commencait a faire beaucoup de fievre ils sont partis aux urgences. De la, les urgences l'ont envoye a Saint Cloud ou ils ont trouve qu'il avait developpe un enorme abces.

Au cours de la journee de jeudi dernier, il etait dans un etat grave mais relativement stable. Puis, dans la soiree, il a recommence a faire de fortes fievres et sa tension etait tres, tres basse. Malgre tout les traitements, chirurgie, antibiotiques, etc., son etat s'empirait. Mais il a bien tenu le coup jusqu'a 1h00 vendredi matin, puis son etat a commence a s'empirer. Ils ont rappelle sa femme pour qu'elle revienne a l'hopital. Il a du deceder vers 4h00 ce matin.

Le pere a Fabrice l'a appelle que vers 6h00.

Moi-meme, j'avais parle a ma belle-soeur jeudi soir, et je lui avais dit que je la rappellerai vendredi matin, ce que j'ai fait. Je pouvais entendre qu'elle etait dans une voiture (elle ne conduit pas), et elle n'a reussi a me dire que, "Il est parti." Je ne savais meme plus que dire. Il n'y a rien qu'on peut dire.

En comparaison, toutes les betises, les prises de tete, les histoires stupides de la vie ne sont rien.


Son frere est mort le jour des 44 ans a Fabrice. Je pense qu'il ne fetera plus jamais son anniversaire.


Et maintenant, sur les 4 freres, il ne reste plus que deux. Leurs parents habitent en France. L'un des freres habite en Nouvelle Caledonie, et l'autre, aux Etats-Unis.


Je ne sais pas ce qui va se passer dans les mois a venir, mais a mon avis, Fabrice ferait mieux de rentrer.



Repose en paix, Denis, tu le merites.
Saches que tu manquera toujours a ta famille et tes amis.




Tuesday, January 3, 2012


Dire que c’est la colère qui parle n’est pas suffisant pour défaire le mal que t’as fait. Comme dirait ta mère, dit, c’est dit. C’est la colère qui parle la plupart du temps lorsque que quelqu’un tue quelqu’un d’autre – eh ben, mon coco, c’est pas pour autant que la victime n’est pas morte. Le mal est fait. La blessure ne se guérit pas mieux puisque c’était la colère qui parlait.

Assumes, enfin, toi qui ne sait me plus présenter tes excuses et demander pardon !

Et puis, non, je ne sais pas que tu m’aimes. Les gens qui s’aiment ne se traite pas ainsi.

Je ne te supporte plus. Et je m’en fous complètement de ton opinion là-dessus. Que ça ne te plaise pas, c’est pareil.

Cinq ans que tu me pourri la vie, il est grand temps que ça s’arrête !

Friday, December 9, 2011

Writing What I Know

They tell you to write what you know.
Okay, then, well...
I know pain,
I know anger,
I know resentment, and anguish and despair.
I know hatred,
I know bitterness,
I know ignorance, and bigotry and isolation.
I know arrogance,
I know loneliness,
I know anxiety, depression, and fear.

But then, I must admit...
I know laughter,
I know music,
I know smiles, and hope, and tenderness.
I know children,
I know company,
I know friendship, and love, and support in the dark times.
I know affection,
I know warm winds and seaside breezes,
I know kindness, and security, and the world.

So, pray tell, dear reader...
What do I write about now?

Thursday, September 22, 2011

Bravo.

Jusqu'à ce soir, malgré tout, je pensais que tu m'aimais.
Je sais que je t'aime.
Mais maintenant je me rende vraiment compte que tu es incapable de m'aimer. Si tu m'aimais tu ne me ferais pas tout ce que tu fais.
Ton quart d'heure est passe. Je ne répondrais pas au téléphone. Je ne l’entendrais surement même pas car il est dans le salon et moi, je m'éloigne pour ne pas empoisonner la soirée de tout le monde avec ma tristesse et mes larmes.
Je t'ai toujours aimé, Fabrice. Et je suis sure que tu le sais.
Je pensais que tu étais quand même un bon gars. Râleur et con, mais avec un bon fond.
Et je pensais que tu m'aimais.
Et ben, j'avais vraiment tort.

Tu m'as bien eu.

Félicitations, tu dois te sentir fier, tu l'as eu la connasse.



Wednesday, September 21, 2011

Définitions d’un homme

A. − [Corresp. à tyran I B 1; en parlant d'une pers.] Synon. despotique, dictatorial. 1. [En parlant d'une pers., d'un groupe de pers. détenant un pouvoir pol.] Qui gouverne de manière autoritaire et absolue, en s'appuyant sur l'oppression et la terreur. 2. [En parlant d'une pers., d'un groupe de pers. détenant un certain pouvoir dans le domaine familial, social, intellectuel, etc.] Qui se comporte d'une manière autoritaire, injuste, violente. Synon. cruel, féroce, impitoyable, inhumain.

B. − [Corresp. à tyran I B 2; en parlant d'une réalité concr. ou abstr.] Qui s'impose d'une manière impérieuse et absolue à l'esprit, aux sentiments, à la volonté de quelqu'un; qui impose certaines contraintes matérielles, morales.

A.− Lang. commune 1. [En parlant d'une pers.] Qui est naturellement porté à attaquer, ou à quereller les autres sans y être préalablement soi-même provoqué.


I.− [En parlant d'une pers.] A.− Adjectif 1. Qui est bestial, qui rapproche l'homme de la brute. 2. P. ext. [En parlant du caractère] Qui manque de souplesse, de douceur[En parlant du comportement] Rude, violent. [En parlant d'une attitude morale, d'une qualité ou d'un sentiment] Droit, direct mais ostensible et sans ménagement.

Saturday, September 3, 2011

"En finir avec les crises d’angoisse"

Le coeur qui s’accélère, la respiration qui se saccade, les idées qui s’entrechoquent et très vite, un engourdissement progressif dans le corps… La crise d’angoisse touche beaucoup plus de monde qu’on pourrait le penser. Elle semble difficile à contrôler et pourtant, c’est possible !
Qu’est ce qu’une crise d’angoisse ?
Crise d’angoisse, attaque de panique, des noms variés qui désignent une même problématique : quand l’anxiété ou le stress deviennent insurmontables, les symptômes physiques et psychiques semblent submerger l’esprit et déborder du corps. En clair, quand l’émotion devient trop fort pour la tête, c’est le corps qui prend le relais. Une crise d’angoisse est donc un état d’alerte de notre corps, en réponse à une peur intense. Selon une grille définie par les spécialistes, cette crise se caractérise par différents symptômes : un sentiment d’angoisse irraisonné, la sensation que quelque chose de grave va se produire (que l’on devient fou, que l’on va mourir), des nausées, des sueurs froides ou à l’inverse des bouffées de chaleur, des palpitations cardiaques, des tremblements, des engourdissements ou des fourmillements, mais également une sensation de dépersonnalisation (on se sent comme déconnecté de soi-même). Provoqué par une situation rationnelle ou non, ce phénomène est le fruit d’une conjugaison à la fois psychique et physique, qu’il faut enrayer dès les premiers signes de crise…
Ce qu’en disent les spécialistes
« Beaucoup de patients viennent me consulter parce qu’ils s’épuisent dans les crises répétées » explique Albert Crespo, psycho-comportementaliste. « Ils disent presque tous la même chose : ils ont peur de devenir fous, peur de perdre la tête. Alors la première séance a pour objectif de leur faire comprendre le rôle du psychisme dans la crise, et la façon dont le corps réagit à ces signaux. Même si l’on pense que l’esprit joue un grand rôle dans la crise, et c’est vrai puisqu’il la déclenche, il reste assez secondaire dans le gros de la crise, qui est avant tout une manifestation physique de l’angoisse ». Rassurant ? « Oui, car la crise d’angoisse est un cercle vicieux… Des pensées créent un état de peur intense, qui crée des sensations physique intenses… qui alimentent les pensées, qui alimentent à leur tour la peur, etc. Briser un maillon, c’est briser la chaîne ».
Quelques règles simples
Notre psycho-comportementaliste donne quelques règles simples pour désamorcer une crise d’angoisse :
1/ Tentez de comprendre la situation, le facteur déclencheur : ce point précis exprime le conflit qui se joue en vous. L’identifier est déjà une étape vers la résolution : que pouvez-vous faire pour dénouer ce nœud anxieux ? Si vous n’avez pas la réponse, n’hésitez pas à en discuter avec un professionnel qui vous aidera à faire le tri. A terme, si vous n’attaquez pas le problème à bras le corps, vous pourriez développer un évitement phobique, une anxiété d’anticipation, avec tout ce que ça implique de retombées sur votre quotidien. N’attendez pas pour affronter le fond du problème.
2/ Ne cédez pas à la panique : Tout commence par l’accélération cardiaque et l’hyperventilation, qui vont provoquer des réactions en chaîne dans votre organisme. Aux premiers signes, fermez les yeux et respirez profondément avec le ventre, expulsez l’air de vos poumons grâce à de longues et profondes expirations. Forcez-vous à ralentir votre respiration et à essayer de vous calmer. Vous pouvez ainsi stopper le processus et les symptômes qui suivent…
3/ Rationnalisez vos pensées : Vous élaborez dans votre esprit un scénario infernal (Votre conjoint va vous quitter / Ce dernier vous trompe / Pire, vous allez mourir / Bref, tout ce qui peut vous angoisser) qui va mettre le feu au poudre. Techniquement, rien ne vient appuyer les faits. Votre esprit ne voit plus rien que par le prisme de l’angoisse, c’est à dire : avec peu d’objectivité. Prenez une feuille et tracez deux colonnes : dans la première, vos pensées irrationnelles (Exemple : il ne m’a pas rappelée car il ne m’aime plus et va me quitter), dans la seconde apportez un argument rationnel en réponse (Exemple : il ne m’a pas rappelée parce qu’il est au cinéma ou qu’il a oublié son portable chez lui). Efforcez-vous de ne vous focaliser que sur les pensées rationnelles, qui sont, jusqu’à preuve du contraire, les plus probables.
4/ Evitez les médicaments anxiolytiques. Certes, ils semblent parfaits pour solutionner le problème, mais mal prescrits (comme c’est souvent le cas), ils peuvent vous fragiliser davantage et accroître les effets de hauts et de bas. Pour affronter une crise d’angoisse, vous avez besoin de vous appuyer sur vos sensations en gardant les idées claires. L’homéopathie peut apporter une légère marche de manoeuvre, grâce à des plantes aux vertus apaisantes : demandez conseil à votre pharmacien.
5/ N’ayez pas peur : la crise d’angoisse n’est pas un état duquel on reste prisonnier. Elle passe, c’est physiologique. Votre organisme va réagir et vous allez passer par différentes étapes, notamment la descente où vos émotions vont se relâcher (pleurs, fatigue, sommeil). Si vous n’avez pas pu empêcher la crise, ne vous accablez pas, vous réussirez avec le temps.
N’ayez pas honte d’en parler, de nombreux forums internet permettent à des gens qui souffrent de crises de panique de se confier et de partager leurs expériences. Car la plus importante des règles est celle là : n’oubliez pas que vous n’êtes pas seule.
Gabriel Seyrig © Pampa Presse
http://fr.pourelles.yahoo.com/en-finir-avec-les-crises-d-angoisse-092210730.html

Le moment de la sieste est arrivée !

 
Je suis bien arrivée, mais j'ai failli rester sur le tarmac à Chicago. Je te raconterais en bref: le premier avion, le voyage s'est passe impeccable. Je suis rentrée dans le deuxième, je discutais avec les femmes assises autour de moi, j'avais pris mon Temesta, etc. L'avion a commencé à s'accélérer sur la piste de décollage, a levé son nez, faisait un drôle de bruit, puis le pilote a repose le nez de l'avion, a fait tout un grand tour, et enfin nous a expliqué qu'en tout début du décollage, il y a une lumière indicatrice qui s'est allumée. Ils pensaient que l'indicateur s'était allume par erreur et qu'ils allaient recommencer. Rebelote. Donc, ils sont retournes a l'aéroport faire évaluer l'avion. On ne pouvait pas partir car on partait à l'international alors on été considérés comme ayant déjà quitte les US.

Mais pour alors je commençais à paniquer malgré le Temesta. J'avais commencé à pleurer et je voulais absolument sortir de l'avion. Je n'étais pas hors de moi et je me comportais normalement et gentiment et non pas comme quelqu'un de folle ou de fâchée ni rien. Je tremblais et je pleurais sans faire beaucoup de bruit. Une femme a cote de moi été thérapeute psychiatrique et elle a réussi a me calmer en me concentrant sur le fait qu'au moins pour le moment, je n'étais qu'assise sur un fauteuil dans un avion gare, et qu'il n'y avait pas de raison d'avoir peur pendant cet instant spécifique. Je pleurais toujours, mais je tremblais moins. On m'a demandé ce qu'on pouvait faire pour m'aider. J'ai dit de me laisser sortir de l'avion.

Une hôtesse de l'air écoute sans s'y mêler. Puis elle m'a prêté son téléphone portable pour appeler qui que je veux pour en parler. Je ne connais personne à Chicago et ne pouvait qu'appeler aux US, alors j'ai appelé Fabrice quand même. Pour une fois, il ne m'a pas engueulé. Puis le commissaire du bord est venu de la partie première classe pour me parler. Il m'a dit que le pilote été déjà au courant de la situation, que pour l'instant ils évalué l'avion et qu'après de voir ce qu'il avait, ils reviendraient vers moi voir ce que je voulais faire, mais si je voulais vraiment sortir de l'avion et retenter aujourd'hui ou un autre jour, ils étaient d'accord pour retourner à la porte me laisser sortir.

La femme thérapeute continuait à me parler et m'a demandé si j'avais des questions. J'ai demandé si elle savait combien de mg de Temesta c'était possible de prendre sans que ce soit dangereux et sans non plus que je ne puisse pas fonctionner une fois arrivée en France.  Elle ne savait pas. J'ai demande à l'hôtesse de l'air si elle savait s'il y avait un médecin dans l'avion à qui on pouvait poser cette question. Une femme de la rangée derrière moi, une française, a dit que son ami, assis de l'autre cote de l'allée et une rangée devant moi était justement médecin. C’était un français tout à fait simple et gentil. Il m'a posé toutes les questions qu'un bon médecin pose dans une telle situation. J'avais pris 2 mg le matin avant puis au cours du premier voyage en avion d'Atlanta à Chicago, à 9h00 du matin et à midi, puis 1 mg avant de monter dans l'avion pour Paris à 18h00, et 1 mg après le premier décollage rate. Dont ça faisait 4 entre 9h00 du matin et le moment pendant lequel on parlait.  Il me dit que 5 était la limite pour une période de 24 heures, mais que, si je me décide de rester dans l'avion, il me donnerait autre chose pour m'aider à être calme et à dormir.

Ensuite le capitaine, le pilote lui-même est venu me voir. Il m'a expliqué personnellement le problème (un problème électrique qu'ils étaient toujours en train d'évaluer) que l'avait eu l'avion et m'a dit que ce n'était pas un problème de retourner à l'aéroport me laisser sortir, que ce n'était pas la première fois que ça arrive, et que je pouvais réfléchir un petit peu puis leur dire ma décision pendant que les mécaniciens finissaient ce qu'ils avaient à faire et que l'équipe se décide s'il y avait un gros problème avec l'avion ou pas. Ils ont ensuite annonce ce qu'ils avaient fait et que l'avion été prêt a partir.

Avec la femme thérapeute, on s'est dit que c'était sans doute l'avion le plus sur du monde à ce moment précis car ils avaient passe presque trois heures à l'évaluer et le tester. Alors je me suis décidé de rester dans l'avion.

Le médecin français m'a donné de l'Atarax, un médicament pour les allergies mais qui marche aussi pour l'anxiété et qui se marie bien avec le Temesta que j'avais pris. Il m'en a donné puis une heure plus tard, tout en étant beaucoup plus calme, je n'arrivais toujours pas à dormir, alors il m'en a donné 2 de plus.

Ensuite, malgré un vol assez tumultueuse, avec beaucoup de turbulences, et tout, j'ai pu somnoler un peu, mais surtout, je n'ai plus du tout paniqué. Dieu merci. Et merci à ce si gentil médecin ainsi qu’à mon merveilleux médecin traitant en France!!!

De plus, arrive à Paris, je me comportais normalement et non pas comme une droguée, et j'ai pu faire ce que j'avais à faire et même aider la femme thérapeute à trouver ou elle devait aller.

Je peux dire que je ne suis pas prête à remonter dans un avion. Et plus jamais sans avoir sur moi ET du Temesta ET de l'Atarax!!

Arrive à Paris il faisait très chaud et je suis un peu beaucoup fatiguée.

Excuse-moi de n'avoir parlé que de moi dans ce mot. Les deux derniers jours m'ont fait un sacré coup dur, et du coup je me sens très seule au monde et ça me désespère et m'attriste un peu.

Mais je suis encore fatiguée aussi. Alors le moment de la sieste est arrivée !

Sunday, August 28, 2011

Je pars dans 4 jours

J'ai vecu 46 ans malheureuse. Je veux que les 46 prochaines annees de ma vie soient heureuses. J'ai hate de commencer cette nouvelle phase dans ma vie. Dans 4 jours je pars. La semaine prochaine les cours commencent.

Ma vie m'attends - serais-je prete?

Eh oui!!!